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« J’ai eu l’honneur de siéger au conseil d’administration pendant six ans. Cette période n’a pas été de tout repos : La Fondation a déménagé, son équipe dirigeante a été modifiée, elle a connu des difficultés pour financer des activités et elle a adopté une nouvelle dénomination. Le plus important, pourtant, c’est qu’elle a obtenu de beaux résultats en matière de production et d’exécution des programmes. Après le succès de son programme international de cinq ans, la Fondation a réussi à mettre en place, avec Affaires mondiales Canada, un programme de sept ans, qui en est maintenant à sa deuxième année. Je suis fier de constater que, malgré un personnel restreint, l’équipe répond aux besoins de l’ensemble des groupes d’intérêts, dont les auditeurs législatifs, les comités des comptes publics, les auditeurs généraux du monde entier et, depuis quelques années, les auditeurs municipaux, de plus en plus nombreux au Canada. »

« J’ai du mal à me dire qu’il s’est déjà écoulé six années depuis mon arrivée au conseil d’administration de la FCAR. Quand je fais le bilan de cette période, plusieurs choses me viennent inévitablement à l’esprit :

• Les autres membres du conseil d’administration avec lesquels j’ai eu le privilège de travailler : collaborer avec d’éminents collègues sur des questions difficiles a été une expérience riche d’enseignements, au cours de laquelle je me suis d’ailleurs fait de très bons amis.
• L’équipe de la FCAR : ce groupe de professionnels dépasse largement les attentes par ses contributions importantes aux niveaux national et international dans les domaines de l’audit, de la responsabilisation et de la supervision.
• Le plan stratégique : en participant à l’élaboration d’un nouveau plan stratégique au début de mon mandat, j’ai pu me focaliser sur les objectifs de l’organisation et sur les activités concrètes à entreprendre pour les atteindre.
• Le changement de dénomination : on pourrait penser que seules quelques lettres changent entre « FCVI » et « FCAR », mais il ne faut pas sous-estimer le passage de « vérification intégrée » à « audit et responsabilisation ». La dénomination actuelle définit clairement le mandat de l’organisation en utilisant une terminologie qui sera comprise par les auditeurs d’aujourd’hui et de demain.

Je me réjouis d’avoir eu l’occasion de siéger au conseil d’administration et je souhaite à la FCAR de belles réussites pour l’avenir. En tant que praticien et membre, je continuerai de me tourner vers la Fondation pour obtenir des orientations concrètes et utiles dans un monde en constante évolution. »

« Les nombreuses réalisations accomplies par la Fondation au cours des six dernières années résultent en grande partie de l’équipe fort compétente et pleinement dévouée qui est désormais dirigée par John Reed. La Fondation a fait d’importants progrès sur des dossiers nationaux et internationaux. J’ai éprouvé une immense joie et un grand soulagement lorsque l’accord de développement international de sept ans négocié avec Affaires mondiales Canada a fini par être approuvé. Le principal avantage que je retire à titre personnel réside dans les nombreuses occasions de réseautage et dans les connaissances que j’ai acquises auprès d’un large éventail de professionnels investis que j’ai rencontrés au cours de mes six années de mandat. Je suis persuadée que la FCAR a un bel avenir devant elle. Je tiens à adresser tous mes vœux de réussite aux membres du personnel et du conseil d’administration dans le cadre des efforts acharnés qu’ils déploient pour renforcer l’impact de la Fondation au Canada et à l’étranger. »

« J’ai eu la chance d’être membre du conseil d’administration de la Fondation pendant six ans. J’ai également été président du comité international et membre du comité sur la gouvernance. Pendant cette période, je retiens trois événements importants pour la Fondation, soit :

• l’adoption, peu après mon arrivée au conseil d’administration, de la planification stratégique qui guide les actions de la Fondation;
• les modifications apportées aux cotisations annuelles des membres afin d’avoir une structure de cotisation juste, équitable et qui prend en compte les capacités de payer des membres;
• le renouvellement du programme international avec Affaires mondiales Canada.

Les discussions au conseil d’administration ont toujours été fort enrichissantes. La diversité des compétences et l’expérience des membres y sont pour beaucoup, mais aussi la capacité de chacun à mettre de côté ses intérêts personnels pour agir dans le meilleur intérêt de la Fondation. À ce titre, le rôle du président du conseil est crucial et Jim Sylph a toujours présidé les rencontres de main de maître tout en permettant à chacun de s’exprimer.

La Fondation a une excellente réputation. Au cours des dernières années, elle s’est rapprochée du milieu municipal et il s’agit d’un créneau où la Fondation peut avoir une plus-value certaine. En terminant, je veux souligner le professionnalisme et la rigueur du personnel de la Fondation, guidé fort habilement par John Reed. »